samedi 21 mars 2009

Malaisie - 16 mars - Kuala Terrenganu

Ville de taille moyenne assez laide au prime abord. D'autant que j'entame une ballade sans cartes et sous pluie, alors qu'il fait presque nuit.
Je trouve un marché sans intérêt qui vend beaucoup de pacotille.
Quasiment pas d'etrangers ici. Je croise tout de même le gentil couple canadiens croisé au Perenthians partis un jour avant nous. Nous dinons ensemble d'un délicieux nasi goreng dans une échoppe près de l'hôtel (Ping anchorage).
Dans le petit dortoir où nous restons, rencontre insolite avec Yamada, un monsieur Japonais agé de 72 ans, qui voyage avec son baluchon et baton autour de l'Asie, dans son costume style Mao.



Un autre japonais beaucoup plus jeune occupe le dernier lit, échoué là parce que la compagnie aérienne a perdu ses bagages. Il va au Perenthians, je lui conseille de checker la méteo...

L'endroit a une belle terrasse sur le toit.

Et le personnel est encore une fois si agréable.


Le lendemain, sous un beau soleil, la ville s'est reveillée sous un meilleur jour.



Dotée d'une carte, je découvre un mini Chinatown coloré et mignon comme tout








et le marché, le vrai cette fois-ci. Coloré et odorant.









je vais y passer une bonne partie de la journée. Il est vraiment grand, alimentation au RDC, pittoresque. Autour, quelque stands incongrus dont un guerrisseur proposant de l'huile de serpent et des serpents d'eau marrons vivants en guise de remède miracle. A l'étage, batiks et vanneries. Nombre de boutiques vendent vêtements et foulards orientaux pas vraiment de mon goût. Mais aussi de nombreuses échoppes vendent des batiks malaisiens et indonésiens. Des batiks, de soie parfois, sont très à mon gout en revanche !
Je m'offre une belle pièce de soie, peinte à la main, d'un beau bleu.



Mon sac est déjà trop lourd, mais c'est tellement joli. Et puis cela m'a couté environ 30 € pour 4 mètres...
Le lendemain, je renonce aux visites touristiques à cause de la chaleur accablante et de la lumière trop écrasante du soleil de midi pour faire des photos . De toutes façons, je retourne au marché où j'avais vu un joli batik de coton, que je ne retrouverai jamais... Retrouver une boutique précise dans le dédale du bazar est impossibl ! Dans le marché, une partie est aménagée en "food court", réservée aux echoppes de nourriture. Je me régale encore une fois. Quasiment pas croisé un touriste occidental dans ce marché. Je dois être la seule à aimer autant les marchés !
Malgré la chaleur humide éreintante, la ville m'a été agréable, à taille humaine, des gens sympathiques, presque pas de touristes. Nous décidons de bouger ensemble avec Florian vers le Sud, à Cherating.

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