Je publie ces photos un an après...le temps passe si vite; L'occasion de revivre ces moments là...
Depuis l'Australie, vaste et beau pays dont les 3/4 que je n'ai pas vu, demanderaient bien plus que les 2 mois et quelque qui me reste avant de retrouver la douce France. Alors au terme de mon séjour à Bali, l"ile des dieux" qui ne m'a en fait pas beaucoup touchée, je voyagerai en Indonésie, plus à L'Est.
Arrivée de Darwin à Bali pour retrouver ma petite soeur et sa grande famille, dans le confort et l'intimité d'une maison louée, bien appréciable après quelques mois de nomadisme sac au dos (ce qui fut et est toujours super, soit dit au passage)
Bali au mois d'août, j'avais oublié que les gens partent en vacances aussi !
BaliArrivée à Kuta (haut lieu du tourisme djeun et alcoolisé, mais pas seulement : ) dernier jour à Kuta aussi, que l'on apprécie mieux avec quelques camarades, et après avoir claqué un mois de salaire moyen (pour un indonésien !), ou encore mon budget hebdomadaires habituel, le temps d"une soirée, en boissons et en resto pas cheap mais bon (le mahi mahi grillé, miam)
On ne garde que le meilleur, on oublie la foule, les taxis et chauffeurs pas sympas, Les inconvénients du tourisme de massse, la circulation démente... Restent de belles plages, des rizières, des volcans, ..le tout pas plus beau qu'ailleurs, des temples (beaux mais très/trop fréquentes). Les gens sont gentils (comme partout), parfois avides (comme partout), hypocrites (comme partout), adorables (comme partout)...
Qu'ai-je à dire de Bali, ile du tourisme du masse où le voyage individuel n'est pas toujours simple si on ne loue pas une moto pour s'aventurer sur les routes plutôt terrifiantes. On est sans cesse rappelé à notre condition de (banking) touriste et ramené dans le droit chemin des shuttles. les ennuis commencent à l'aéroport où les taxi chers ne se partagent pas sous peine de harcelement culpabillisant et tentative d'extorsion de quelquesq euros. Ces quelques euros finissent naturellement en question de principe, ou pas zen, je vais user le peu d'energie qui me reste...
De toutes façons les offrandes, matérialisées par des petits receptacles en feuille garnis de diverses denrées et fleurs (qui s'achètent au marché comme un kilo de riz), permettent notamment de s'absoudre de tout. cool comme religion, non ?
Oui il y a des beaux temples, des rizières non moins belles (quoiqu'à la saison sèche, ça casse pas des briques. Je verrai 10 fois mieux par la suite à Flores) et des volcans (encore une fois fois, allez à Florès !) l'ennui, c'est que les dits temples, points de vue sur les rizières sont quand même encombrés de touristes, de vendeurs de souvenirs et parfois de guides roublards, ce qui gache un peu le plaisir. Il y a aussi d'autres gens adorables qui rattrapent comme ils peuvent les tricheries des uns, et d'une façon tout à fait désinteressée.
Ma première déconvenue avec un taxi s'est passée avec celui qui a été le chauffeur attritré de ma soeur et sa famille lors de leur séjour à Bali. m'a juste plantée quelque par à Sanur, bien loin (50, 60 km) de l'embarcadère pour Lombok, me faisant croire que c'était là. Ignorante mais pas complètement stupide, je comprends l'entourloupe et manque de vraiment m'énerver au terme d'une discussion animée. Est temoin de la scène, Yustine, Timoraise d'origine, qui organise des tours pour les touristes. Yustine qui insiste pour me conduire gracieusement à Padangbai ou je ne pourrai evidemment prendre un bateau que le lendemain...j'atterirai néanmoins dans une guest house tenue par un monsieur adorable chez qui le laisserai d'ailleurs un sac en consigne free. Une autre histoire avec un autre chauffeur de taxi qui lorsqu'il a compris que j'avais partagé les frais du taxi avec des filles rencontrées à l'aéroport. une fois arrivées à l'hotel Mercure de Sanur (120 USD la chambre simple...)a voulu des sous en plus, que je ne lui ai pas donnés, menaçant, il ne décollait pas. A 2 heures du mat, après que le receptionniste bienveillant m'eût autorisé à attendre dans l'enceinte de l'hôtel le départ de l'indésirable, il était bien tard pour se mettre à la recherche d'une guest house. Le receptionniste m'autorise à rester dans le hall, bien aéré et doté de confortables divan. Je vais m'endormir là, avant de decoller à 6 heures du mat. Quand je dis gentils, c'est en réalité adorables (il a accepté avec peine un pourboire, lui qui ne doit pas mensuellement gagner loin du montant de la chambre que loue son employeur proprio du Mercure). 40 ans de tourisme ont forcément gâté quelque chose et donné à certains des vélléités d'arrivistes. mais il faut être juste, Bali c'est beau, probabelemnt meiux en dehors de Juillet Août. et plein de personnes gentilles. Mais un peu dégoutée, je n'ai pas envie spécialement d'y retrouner. malgré tout le bien que j'ai entendu de Bali, une seule certitude demeure quand à mon idée du voyage, il faut voir par soi même. Des goûts et des couleurs, le voyage est une parfaite illustration.
Le mont Agung
De Lombok à Komodo, Rinca, Florès, SerayaLa fausse bonne idée de tout mon trip, j'ai pris l'otion de voyager sur un "bateau croisière", en fait un bateau de pêche un peu aménagé, où on dispose de 2 metres carrés chacun, et équipé d'un moteur redoutablement bruyant à défaut d'être une bombe....Option aussi chère que l'avion, mais qui devait nous permettre de voir un peu Sumbaya, des iles sur le chemin, dont Komodo et Rinca.
En fait, le premier stop vraiment interessant est Komodo (parceque les Dragons, c'est quand même un must see, non ?) Mais les seuls monstres que nous verrons seront ceux avachis près du HQ des rangers, pépères endormis qui attendent la bouffe facile (les poubelles, pas les touristes). On est loin de l'image des monstres sanguinaires, qui seraient peut-être à l'origine du mythe du dragon chinois... Nous ne passeront qu'une heure et quelque sur place, en plein soleil de midi. Un (trop) petit tour et puis s'en va. Hum...
Second stop à Rinca pour une marche un peu plus longue, sur une ile très belle dont les bruns et les beiges des paysages et l'aridité rappèlent l'Autralie du nord. Nous y verrons en revanche nombre de dragons dans la nature, quelques buffles. des oiseaux. Là ça vaut vraiment le coup.
Si c'etait à refaire, je ferai tout en ...individuel depuis florès et passerait au moins une nuit sur Rinca, Komodo pouvant être zappé.
Ruche
Un vieux dragon fatigué, on nous explique que son aspect décharné explique son grand age. Lorsqu'ils meurent, leurs congénères les dévorent... FlorèsDébarqués à Flores, à Labuanbajo. Je me mets en quÊte d'un hotel un peu trop tard et fini par partager une chambre miteuse (la pire en 8 mois de voyage) pour un prix exageré avec les 2 compères français Pierrick et Papou , rencontrés sur le bateau. là, tu dors dans tes fringues et espèrent que le punaises qui ne sont surement pas loin ne passeront pas par toi !!
Le lendemain, après un réveil pateux, conséquence d'une soirée imbibée d'arak, c'est parti pour un tour de Florès en solo.
Arrivée à
Ruteng, ville "animée", ie. avec des commerces et un marché animé, située à environ 1000 mètres d'altitude pour y passer une nuit. ballade en ville. Toujours le marché, odorant et coloré (leitmotiv de l'Asie). exotiques Femmes et hommes en sarong noir brodé, descendus des montagnes comme décrit dans le Lonely planet... ici peu de touristes (croisés 3 personnes, que je retrouverai dans d'autres endroits) Quantité de gens viennent à ma rencontre pour pratiquer leur anglais. Ruteng est le siège d'une ecole dédiée au tourisme et pas moins de 700 étudiants sont encouragés par leurs profs à venir à la rencontre des touristes. Ils sont adorables et sont une source d'information non négligeable dans cette ile relativement peu fréquentée des touristes, et où peu de monde parle anglais.
il est vrai peu d'attrait pour le touriste ici mais la nature omniprésente relativement préservée à Florès est tout près.
Dès le lendemain cap sur
Badjawa, d'où on peut visiter des villages traditionnels (habitations avec ces toits de chaume énormes)voir des tisseuses et acheter des Ikats (tissages) je zappe cette activité "obligatoire", découragée par le côté tour opérateur chronométré et hélas commercialisé de l'affaire.
Je loue les services d'un motard (odjek) pour me ballader dans la région. Je verrai des villages plus ou moins traditionnels, des volcans de loin, en toute liberté. Rien d'extraordinaire (mais quel est ce mot ?!) mais plein de petites choses attrayantes. Et une belle virée sur les routes scéniques.
la route, superbe, sillonne le relief tourmenté de la chaine de volcans, d'ouest en est à Florès. Zig zag montée descente. La moitié du bus (uniquement des locaux) est malade. Les relents de vomi sur fond de musique à fond est space, Sans parler des basses qui secouent le tout. la route est néanmoins superbe. montagnes couvertes de forêt tropicale, de cultures. Des cafféiers en fleur, des rizières dans les vallées, des villages typiques (= pauvres, avec la basse-cour dans la maison ou presque. Des chèvres et des bovins sur le bord des routes. Des populations souriantes dans leurs sarongs brodés ...
Le lendemain cap sur
Moni, village dans la montagne,
au pied du fameux
Kelimutu, volcan avec en son cratère, trois lacs supposés de 3 couleurs différentes. Actuellement (et cela evolue), 2 sont d'un turquoise quasi identique tirant sur l'emeraude et un est bleu nuit. Je prends une moto à 4 heures 30 pour arriver au lever du soleil, selon la recommandation du LP. Du parking environ 20 minutes de marche pour arriver en haut du cratère. le volcan le plus facile à escalader de la terre bprobablement ! j'arive néanmoins un chouia trop tard pour voir se refleter les premières lueurs du soleil dans les eaux sulfurées de couleurs surnatuelles. Néanmoins la brume ou les vapeurs changeantes est un spectacle fascinant et mystérieux les lacs apparaissent et disparaissent comme par magie. Le lieu est sacré pour les locaux. Les lacs recueillent les âmes des morts (les enfants, les adultes, les seniors. 3 lacs, donc. Très peu de monde. le parcours habituel est le suivant : arrivée à 5 heures départ à 7. Sinon, il faut redescendre à pied soit par la route, soit à travers la montagne. je choisis la seconde option et on se retrouve rapidement avec le site pour nous seuls avec une poignée d'autres en ce milieu de matinée. Pour finir nous sommes vraiment seuls avec Russel et Sacha, a admirer l'endroit, superbe solitude de montagnes de nuages et de lacs qui n'en finissent pas de captiver les regards. Nous decidons de faire le chemin de retour ensemble.
Entre les vergers, les plantations de café,et tout bonnement la forêt, nous traverseront de petits hameaux, feront une petite halte tandis qu'une tisserande termine l'ouvrage...que je viens de lui acheter.les habitants ne parlent pas souvent anglais, et les connaissances en bahasa indonesia de Sacha seront fort utile pour mener à bien l'achat de la pièce de textile et echanger 3 mots avec ces montagnards. Nous nous perdons un parfois. mais la ballade est cool bien que sous un cagnard redoutable qui me vaudra les premiers coups de soleil en 6 mois de voyage...moi qui me croyait exemptée de crème solaire après avoir pris tant de soleil. Nous finissons dans la chute d'eau près du village, terrain de jeu des enfants et de baignade pour tous. Un petit plouf revigorant. journée superbe et dodo à huit heures. C'est mon rythme indonésien rythmée par les bus qui partent à 6 heures du mat, la nuit qui tombe tôt et la torpeur qui gagne les villes et les villages à la tombée de la nuit.
Fleurs de café Belladone la population a des origines mélanésiennes, et malaise entres autres. Parfois la musique dans les bus (celle que j'aime dans les bus) a le son d'un ukulélé. Fugitives impressions de bout du monde, dans ce bus rempli de visages radieux, malgré l'apreté de la vie ici. Des gens serviables et si gentils, avec qui la communication est difficile car ici même le Bahasa indonésia est parfois une langue secondaire, dans la plethore de dialectes (il faut imaginer l'isolement de ces populations avant les bus, qui relient aujourdhui les villages et les villes.
les bus sont le lien entre les populations, ils transportent les hommes, les denrées, les animaux...(tout ensemble) et les rares touristes qui choisissent ce mode de transport folklorique.
le bus est un moyen économique de se déplacer et est un voyage en soi. On en prend réllement plein la vue (et les oreilles et le nez ;-). Les routes sont étroites sineuses mais la plupart du temps goudronnées, les précipices vetigineux (sans rembarde, brr) mais les conducteurs sont calmes à l'inverse de Bali, où les transpoteurs semblent avoir compris que le temps c'est de l'argent.
Me voila à
Ende, au sud de Florès, ville plutot musulmane, en fin de ramadan, assoupie en ce vendredi. je me fait quand même brancher par nombre de jeunes mecs très directs (même en Bahasa, je comprends) et suis obligé de m'inventer un mari pour qu'il fichent la paix... et ils n'insistent pas.
belle plage un peu sale autour de la ville, joli contraste entre le sable noir et des cailloux vert jade. Un village de pêcheurs plus loin et dejà le soleil va se coucher, il est temps de rebrousser chemin. Ende n'est qu'un lieu de passage pour les toujours rares touristes. y compris pour moi.
Direction
Riung, au nord de Flores le lendemain.
Le paysage change graduellement pour passer de la forêt verdoyante à un paysage plutôt désolé et aride. Collines fauves et végétation rare. On sent la proximité de L"Australie... la route goudronnée devient une route pas finie pour terminer en piste. Paysage toujours impressionnant. Pauvres maisons ça et là sans electricité ni eau courante, vu des gens vraiment faméliques. à l'arrivée vers Mbay, sensation d'une petite oasis dans le désert. Rapide stop au marché le temps d'une pause pour le bus et nous arrivons à Riung, village très tranquille. personne pour vendre quoique ce soit, pas moyen non plus de trouver un Odjek (motard taxi) pour aller se ballader, un seul restau qui n'a ni poulet ni poisson, ni légumes..pas un touriste non plus en vue. Comme il n'y a pas de plage il faut chartériser un bateau pour assez cher pour aller sur les fameuses iles au large pour snorkeller. Mauvais jour pour moi, il n'y a personne d'autre.
Un avion échoué au milieu de la campagne sert d'habitation j'arrive à
Maumere, ville principale de l'ile pour apprendre qu'il n'y a pas d'avion en ce moment (cassé ? personne ne saura me dire) pour retourner vers l'ouest de l'ile et attraper un ferry le 1er octobre, puis prendre un avion de Bali à Java puis presque aussitôt vers Kuala Lumpur. Mon programme initial s"est réduit comme peau de chagrin quand j'ai compris que l'Indonésie demande du temps pour les déplacement si on n'a pas pris la peine de réserver des vols interieurs (impossible par internet)et bien calculé les temps de transport d'un endroit à l'autre. Je dois donc rebrousser chemin par la route, et renoncer à la visite des iles à l'est de Florès. En outre mes très faibles voire nulle capacités à communiquer en Bahasa Indonesia risquent d'être problématiques dans ces coins reculés ou une petite poignée de visiteurs s'aventurent. Point de trip chez les pêcheurs de baleine au harpon pour cette fois là !
J'opte pour un retour express vers
Labuan Bajo, mon port d'arrivée à Florès. 16 heures de bus plus tard, le dos en compote (et le édebut d'un lumbago par la même occasion), j'y suis. il me reste une semaine avant le ferry vers Bali.
Je mets le cap vers
Seraya, ile à une heure de là, un seul micro village, un "resort" composé de 10 bungalows et d'un restau honnêtes. Des chèvres, deux daims (Shirley et son petit), 4 chats anonymes et fous et un chien court sur pattes et joueur, malmené par les chats et les daims, qui cherche la compagnie des hommes (daisy). Des collines désechées d'où les vues sont très belles, un paysage dépouillé et beau. Solitude facile. Des touristes en nombre forcément limités et une ambiance où le temps s'est arrêté. Pas d'eau courante sauf parfois entre 6 et 8pm ni d'electricité sauf entre 6 et 10pm. last but not least une belle plage propre avec un recif vraiment sympathique, le tout au pied des bungalows. eaxactement 15 pas entre la mer et mon lit. Voila l'endroit où se poser et relaxer après le rythme marathon (mais avec plein dans la vue quand même)sur lequel j'ai vu et visté Florès...
Gili MenoJe quitte donc bali pour aller à Gili Meno, la moins fréquentée des trois iles Gili.
Après un voyage long, 4 heures de ferry, autant de bus et d'attente, nous arrivons au crépuscule sur une grosse barque dans ce petit paradis, pour les honeymooners et pour les autres. sable blanc et eaux claires. Vue inprenable sur Lombok au gré de la lumière qui évolue. Vue aussi remarquable d'un point de l'ile avec de part et d'autre 2 volcans : le mont Agung de Bali et le mont Rinjani de Lombok. Coucher de soleil en technicolor.
On peut faire le tour de l'ile en 2 heures ou en une journée, au gré des baignades, comtemplations, et collations. La solitude de l'ile pourra déplaire à certains.
En dehors des 3 ou 4 principaux resorts autour du débarcadère de Meno, plus "chics" mais tout est relatif, des petits warungs cheap et sympathiques sont tenus par des gens paisibles, qui vivent sur cette ile non motorisée, où l'eau et l'electricité ne sont pas toujours là, mais ou le calme fantastique vaut toute la modernité du monde. La nuit tombe tôt et ce n'est pas l'endroit pour la fiesta. neanmoins, au hasard d'une plage, un feu de camp, des guitares et quelques substances seront réjouissantes :-)
Plusieurs resorts sont abandonnés
Plus loin, a même le sable, un lit, des divans, un bar....un étrange décor évoque la solitude, mais surtout la sérénité.
Seul le bruit de la mer trouble le silence.
Cet endroit a appartenu à un vieux japonais.
Spéculations personnelles : artiste, esthète ?
N'est plus revenu depuis des années. Est-il toujours de ce monde ?
Cinephile ? parceque c'est comme un décor de cinema.
Un après-midi au beach café. Un spot un peu venté mais une plage magnifique et une vue sur Lombok tout aussi belle. Un Kite surfer solitaire a le spot pour lui tout seul. joli spectacle. Effectivement juste quelques tables (4) protégées d'une paillote, tenue par cette adorable dame qui est aussi connaisseuse en massages. un savoir transmis par sa mere. Mes pieds et mes jambes s'en souviennent...
Je loge dans une belle villa, appartenant à des Français et gerée par Arib, adorable gars. La villa est située en retrait, la tranquillité n'est troublée que par le chant (hystérique quand même) des coqs...a n'importe quelque heure du jour et parfois de la nuit.
Gili meno, pas grand chose à faire si ce n'est que comptempler, nager et croiser pas mal de tortues et parfois un bout de récif épargné par la pêche à la dynamite. Le recif est maintenant protégé? Si El Nino le veut bien, ce sera de nouveau un paradis du snorkelling dans quelques années. Déjà 10 jours. il faut bien avancer...